Holy Mountain (1973)
4 February 2025
The Holy Mountain : Un trip cinématographique sous les étoiles du chalet
Par Laurent, Maksim et Thomas
Laurent : Quand Maksim nous a proposé de regarder The Holy Mountain d’Alejandro Jodorowsky, je ne savais pas à quoi m’attendre. Et après avoir vu le film, je suis encore en train de digérer ce que j’ai vécu. C’est une expérience sensorielle et psychédélique totale. L’histoire, si on peut appeler ça une histoire, suit un personnage ressemblant à Jésus et un groupe d’individus symbolisant les planètes, dans une quête spirituelle vers la montagne sacrée. Les images sont hypnotiques, les couleurs éclatantes, et les symboles religieux, politiques et sociaux s’entremêlent de manière déroutante. C’est un film qui ne se regarde pas, il se vit. Mais honnêtement, je ne suis pas sûr d’avoir tout compris… et je pense que c’est un peu le but. Maksim : Ah, The Holy Mountain… un film que j’avais envie de partager avec vous depuis longtemps. Pour moi, c’est une œuvre d’art totale, une critique acerbe de la société, de la religion et du consumérisme, le tout enveloppé dans une esthétique hallucinante. Jodorowsky ne fait pas de compromis : chaque scène est une peinture vivante, chaque dialogue une provocation. J’ai adoré la scène où les personnages brûlent leurs effigies en cire, symbolisant la destruction de leurs illusions. C’est un film qui demande de l’engagement, mais qui récompense ceux qui acceptent de se laisser emporter. Et puis, avouons-le, c’est un sacré sujet de discussion autour d’un feu de cheminée ! Thomas : Je suis sorti de cette séance avec un mélange d’admiration et de confusion. The Holy Mountain est sans doute l’un des films les plus étranges que j’aie jamais vus. C’est visuellement époustouflant, avec des plans qui ressemblent à des tableaux surréalistes. Mais c’est aussi extrêmement provocateur, parfois même choquant. J’ai apprécié l’audace de Jodorowsky, mais je me suis souvent demandé où il voulait en venir. Est-ce une quête spirituelle ? Une satire ? Un délire artistique ? Probablement un peu de tout ça à la fois. Ce n’est pas un film que je recommanderais à tout le monde, mais c’est une expérience unique que je ne regrette pas d’avoir vécue.
Verdict du chalet : The Holy Mountain est un film qui divise, fascine et dérange. Laurent est encore en train de décrypter ce qu’il a vu, Maksim est en extase devant l’audace de Jodorowsky, et Thomas oscille entre admiration et perplexité. Une chose est sûre : ce film ne laisse personne indifférent. C’est une plongée dans l’inconscient, un voyage psychédélique qui questionne notre rapport au monde et à nous-mêmes. Et après cette séance, une chose est claire : on a tous besoin d’une bonne tisane et d’une longue discussion pour digérer tout ça. 🌀🎬
Note finale : 7,5/10 (mais avec un énorme bémol : ce film est une expérience, pas un divertissement classique).
Par Laurent, Maksim et Thomas
Laurent : Quand Maksim nous a proposé de regarder The Holy Mountain d’Alejandro Jodorowsky, je ne savais pas à quoi m’attendre. Et après avoir vu le film, je suis encore en train de digérer ce que j’ai vécu. C’est une expérience sensorielle et psychédélique totale. L’histoire, si on peut appeler ça une histoire, suit un personnage ressemblant à Jésus et un groupe d’individus symbolisant les planètes, dans une quête spirituelle vers la montagne sacrée. Les images sont hypnotiques, les couleurs éclatantes, et les symboles religieux, politiques et sociaux s’entremêlent de manière déroutante. C’est un film qui ne se regarde pas, il se vit. Mais honnêtement, je ne suis pas sûr d’avoir tout compris… et je pense que c’est un peu le but. Maksim : Ah, The Holy Mountain… un film que j’avais envie de partager avec vous depuis longtemps. Pour moi, c’est une œuvre d’art totale, une critique acerbe de la société, de la religion et du consumérisme, le tout enveloppé dans une esthétique hallucinante. Jodorowsky ne fait pas de compromis : chaque scène est une peinture vivante, chaque dialogue une provocation. J’ai adoré la scène où les personnages brûlent leurs effigies en cire, symbolisant la destruction de leurs illusions. C’est un film qui demande de l’engagement, mais qui récompense ceux qui acceptent de se laisser emporter. Et puis, avouons-le, c’est un sacré sujet de discussion autour d’un feu de cheminée ! Thomas : Je suis sorti de cette séance avec un mélange d’admiration et de confusion. The Holy Mountain est sans doute l’un des films les plus étranges que j’aie jamais vus. C’est visuellement époustouflant, avec des plans qui ressemblent à des tableaux surréalistes. Mais c’est aussi extrêmement provocateur, parfois même choquant. J’ai apprécié l’audace de Jodorowsky, mais je me suis souvent demandé où il voulait en venir. Est-ce une quête spirituelle ? Une satire ? Un délire artistique ? Probablement un peu de tout ça à la fois. Ce n’est pas un film que je recommanderais à tout le monde, mais c’est une expérience unique que je ne regrette pas d’avoir vécue.
Verdict du chalet : The Holy Mountain est un film qui divise, fascine et dérange. Laurent est encore en train de décrypter ce qu’il a vu, Maksim est en extase devant l’audace de Jodorowsky, et Thomas oscille entre admiration et perplexité. Une chose est sûre : ce film ne laisse personne indifférent. C’est une plongée dans l’inconscient, un voyage psychédélique qui questionne notre rapport au monde et à nous-mêmes. Et après cette séance, une chose est claire : on a tous besoin d’une bonne tisane et d’une longue discussion pour digérer tout ça. 🌀🎬
Note finale : 7,5/10 (mais avec un énorme bémol : ce film est une expérience, pas un divertissement classique).