Neon Genesis Evangelion (1995)
4 February 2025
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Neon Genesis Evangelion : Une plongée intense dans le chaos et l’introspection sous les étoiles du chalet
Par Maksim, Ariane, Enzo et Julien
Ariane : Quand Julien nous a proposé de regarder Neon Genesis Evangelion, je m’attendais à un anime de mecha classique avec des robots et des combats épiques. Mais très vite, j’ai réalisé que c’était bien plus que ça… et aussi bien plus déroutant. Les premiers épisodes m’ont laissée perplexe : entre les anges, l’Evangelion, et les relations complexes entre les personnages, j’avais l’impression de manquer des morceaux du puzzle. Mais au fur et à mesure, j’ai été captivée par la profondeur psychologique des personnages, surtout Shinji. Son insécurité et sa quête d’identité m’ont touchée. Par contre, je dois avouer que la fin m’a laissée complètement perdue. Heureusement, Julien était là pour nous expliquer… un peu. Enzo : Moi aussi, j’ai été surpris par Evangelion. Au début, je me suis dit : “Ok, des robots géants, des monstres, des combats spectaculaires, ça va être cool.” Mais très vite, la série a pris une tournure beaucoup plus sombre et philosophique. Les thèmes de la solitude, de la dépression et de la quête de sens m’ont vraiment marqué. J’ai adoré la complexité des personnages, surtout Asuka et Rei, qui sont bien plus que des stéréotypes. Par contre, les derniers épisodes… wow. J’étais complètement perdu. Les monologues introspectifs, les séquences abstraites, c’était intense, mais aussi un peu frustrant. Heureusement, on a enchaîné avec le film The End of Evangelion, qui a apporté quelques réponses… tout en soulevant encore plus de questions. Maksim : Pour moi, Evangelion est une œuvre magistrale, mais clairement pas facile d’accès. La série mélange action, psychologie et métaphysique d’une manière unique. J’ai été fasciné par la façon dont Hideaki Anno explore la psyché humaine à travers ses personnages. Shinji, avec ses doutes et ses peurs, est l’un des protagonistes les plus réalistes que j’ai vus dans un anime. Les scènes de combat contre les anges sont impressionnantes, mais c’est vraiment le côté introspectif qui m’a captivé. Par contre, je comprends totalement la confusion d’Ariane et d’Enzo. La fin de la série est volontairement abstraite, presque expérimentale. The End of Evangelion apporte une conclusion plus concrète, mais reste profondément troublant. C’est une série qui demande de la patience et de la réflexion, mais qui récompense ceux qui s’y investissent. Julien : Ah, Evangelion… une série que j’ai vue plusieurs fois et qui me marque à chaque fois. Je savais que ça allait être un choc pour vous, surtout pour ceux qui la découvraient. La série commence comme un anime de mecha classique, mais elle se transforme rapidement en une exploration profonde de la condition humaine. Les thèmes de la connexion, de la solitude et de l’identité sont omniprésents. Les derniers épisodes, avec leur approche expérimentale, peuvent dérouter, mais ils reflètent parfaitement la descente dans la folie et l’introspection de Shinji. The End of Evangelion est une conclusion plus viscérale et violente, mais tout aussi puissante. C’est une série qui ne donne pas de réponses faciles, mais qui vous pousse à réfléchir. Et ça, c’est ce qui en fait une œuvre intemporelle.
Verdict du chalet : Neon Genesis Evangelion est une expérience intense, déroutante et profondément marquante. Ariane et Enzo ont été submergés par la complexité de la série, mais ont fini par être captivés par ses personnages et ses thèmes. Maksim a adoré la profondeur psychologique et métaphysique, tandis que Julien a apprécié revoir cette œuvre qu’il connaît si bien. La fin de la série et The End of Evangelion ont suscité de vives discussions autour du feu, chacun partageant ses interprétations et ses questions. Une chose est sûre : Evangelion ne laisse personne indifférent. C’est une plongée dans l’inconscient, une réflexion sur l’humanité, et une expérience que nous n’oublierons pas de sitôt. 🌌🤖
Note finale : 9/10 (mais avec un avertissement : préparez-vous à être déstabilisé et à réfléchir longtemps après avoir regardé).
Ariane : Quand Julien nous a proposé de regarder Neon Genesis Evangelion, je m’attendais à un anime de mecha classique avec des robots et des combats épiques. Mais très vite, j’ai réalisé que c’était bien plus que ça… et aussi bien plus déroutant. Les premiers épisodes m’ont laissée perplexe : entre les anges, l’Evangelion, et les relations complexes entre les personnages, j’avais l’impression de manquer des morceaux du puzzle. Mais au fur et à mesure, j’ai été captivée par la profondeur psychologique des personnages, surtout Shinji. Son insécurité et sa quête d’identité m’ont touchée. Par contre, je dois avouer que la fin m’a laissée complètement perdue. Heureusement, Julien était là pour nous expliquer… un peu. Enzo : Moi aussi, j’ai été surpris par Evangelion. Au début, je me suis dit : “Ok, des robots géants, des monstres, des combats spectaculaires, ça va être cool.” Mais très vite, la série a pris une tournure beaucoup plus sombre et philosophique. Les thèmes de la solitude, de la dépression et de la quête de sens m’ont vraiment marqué. J’ai adoré la complexité des personnages, surtout Asuka et Rei, qui sont bien plus que des stéréotypes. Par contre, les derniers épisodes… wow. J’étais complètement perdu. Les monologues introspectifs, les séquences abstraites, c’était intense, mais aussi un peu frustrant. Heureusement, on a enchaîné avec le film The End of Evangelion, qui a apporté quelques réponses… tout en soulevant encore plus de questions. Maksim : Pour moi, Evangelion est une œuvre magistrale, mais clairement pas facile d’accès. La série mélange action, psychologie et métaphysique d’une manière unique. J’ai été fasciné par la façon dont Hideaki Anno explore la psyché humaine à travers ses personnages. Shinji, avec ses doutes et ses peurs, est l’un des protagonistes les plus réalistes que j’ai vus dans un anime. Les scènes de combat contre les anges sont impressionnantes, mais c’est vraiment le côté introspectif qui m’a captivé. Par contre, je comprends totalement la confusion d’Ariane et d’Enzo. La fin de la série est volontairement abstraite, presque expérimentale. The End of Evangelion apporte une conclusion plus concrète, mais reste profondément troublant. C’est une série qui demande de la patience et de la réflexion, mais qui récompense ceux qui s’y investissent. Julien : Ah, Evangelion… une série que j’ai vue plusieurs fois et qui me marque à chaque fois. Je savais que ça allait être un choc pour vous, surtout pour ceux qui la découvraient. La série commence comme un anime de mecha classique, mais elle se transforme rapidement en une exploration profonde de la condition humaine. Les thèmes de la connexion, de la solitude et de l’identité sont omniprésents. Les derniers épisodes, avec leur approche expérimentale, peuvent dérouter, mais ils reflètent parfaitement la descente dans la folie et l’introspection de Shinji. The End of Evangelion est une conclusion plus viscérale et violente, mais tout aussi puissante. C’est une série qui ne donne pas de réponses faciles, mais qui vous pousse à réfléchir. Et ça, c’est ce qui en fait une œuvre intemporelle.
Verdict du chalet : Neon Genesis Evangelion est une expérience intense, déroutante et profondément marquante. Ariane et Enzo ont été submergés par la complexité de la série, mais ont fini par être captivés par ses personnages et ses thèmes. Maksim a adoré la profondeur psychologique et métaphysique, tandis que Julien a apprécié revoir cette œuvre qu’il connaît si bien. La fin de la série et The End of Evangelion ont suscité de vives discussions autour du feu, chacun partageant ses interprétations et ses questions. Une chose est sûre : Evangelion ne laisse personne indifférent. C’est une plongée dans l’inconscient, une réflexion sur l’humanité, et une expérience que nous n’oublierons pas de sitôt. 🌌🤖
Note finale : 9/10 (mais avec un avertissement : préparez-vous à être déstabilisé et à réfléchir longtemps après avoir regardé).